La France n'arrive qu'en deuxième ou troisième position dans l'accueil des immigrés en provenance d'Europe de l'Est. En dehors d'un flux modeste de Polonais, de Tsiganes, de Roumains et de Soviétiques la France reçoit peu de chercheurs et d'étudiants et n'encourage pas l'exode des cerveaux.